• Chronique des saints : Thomas d’Aquin

    Chronique des saints : Thomas d’Aquin
    Doué des plus hautes qualités intellectuelles, il transmit aux autres, par ses prières et ses écrits, sa sagesse éminente.

  • Chronique des saints : Jeanne de Chantal et François de Sales

    Chronique des saints : François de Sales fils d’une noble famille savoyarde restée catholique en pays calviniste, était destiné à un brillante carrière juridique. Son père l’envoie étudier à Paris. Mais il y découvre la théologie et les problèmes de la prédestination, soulevés par les calvinistes. Scrupuleux, il se croit prédestiné à être damné. Le désespoir le submerge jusqu’au jour où il découvre le « souvenez-vous », la prière mariale attribuée à saint Bernard. Il retrouve la paix et ce sera l’un des grands messages de sa vie quand il pacifiera sainte Jeanne de Chantal, puis quand il écrira son « Introduction à la vie dévote ».

  • Chronique des saints : Vincent

    Chronique des saints : Vincent, diacre de Saragosse, fut mis à mort à Valence (Espagne) avec son évêque Valère en 304 ou 305, après avoir subi la torture. Comme Laurent de Rome, Vincent offre le modèle accompli du service dans l’Église: ministre de l’évêque pour l’offrande du sacrifice et le gouvernement de la communauté, le diacre doit l’accompagner aussi à l’heure suprême du témoignage. Son culte, très répandu dans les pays de vignobles, le fut également à Viviers, où la Cathédrale lui fut dédiée dès le VIe siècle. Vincent signifie ‘vainqueur’, et la liturgie joue volontiers sur le sens de son nom.

  • Chronique des saints : Hilaire de Poitiers

    Chronique des saints : Saint Hilaire de Poitiers est né dans une noble et riche famille païenne d’Aquitaine. Ce jeune homme était doué pour les études, mais la question du sens de la vie le tourmentait. Où se trouve le bonheur pour l’homme? A quoi sert d’exister si l’on doit mourir? Y a-t-il un dieu?

  • Chronique des saints : Thomas Becket

    Thomas Becket né à Londres d’une famille normande. Il fit de bonnes études à Londres et à Paris et le roi Henri II Plantagenêt choisit ce brillant sujet comme chancelier. Enchanté de son administration, il le fait nommer archevêque de Canterbury, pensant ainsi résoudre les difficultés qu’il connaît avec les évêques de son royaume.

  • Chronique des saints : Adelaïde

    Adélaïde ou Alice était à la fois reine d’Italie, reine d’Allemagne et elle sera la première en date des impératrices du Saint Empire-Romain Germanique à la suite de son mariage avec Othon Ier, lorsqu’elle fut veuve du roi d’Italie.

  • Chronique des saints : Odile

    Odile ne fut pas la bienvenue dans sa famille. On attendait un garçon et ce fut une fille. Puis on s’aperçut qu’elle était née aveugle. Son père, Adalric, comte d’Alsace voulut la tuer comme c’était encore l’usage en ces temps mérovingiens. Mais sa mère la sauva et Odile fut accueillie par l’abbaye bourguignonne de Baume-les-Dames.

  • Chronique des saints : Pierre Fourier

    Pïerre Fourier est né à Mirecourt le 30 novembre 1565, brillant étudiant à l’université de Pont-à-Mousson, chanoine régulier à Chaumousey, il est ordonné prêtre le 25 février 1589 à Trèves.
    Il réforme son abbaye puis devient curé de Mattaincourt pendant 30 ans, mettant en pratique sa devise : « Ne nuire à personne, être utile à tous ».
    Avec Alix Leclerc il fonde en 1597 la Congrégation des Chanoinesses de Notre Dame pour l’éducation chrétienne des jeunes filles.

  • Qui sont les Saints ?

    Qui sont les Saints ? Pourquoi prie-t-on les Saints ?
    Le père Jean-Marie Dubois, chancelier et promoteur de la cause des Saints, répond à ces questions dans une vidéo consacrée aux saints et aux saintes.

  • Chronique des saints : Eloi

    « Le bon saint Eloi » gallo-romain originaire de Chaptelat dans le Limousin, appartenait à une famille de paysans aisés qui travaillaient eux-mêmes leur domaine, à la différence de tant de grands propriétaires qui les faisaient cultiver par de nombreux esclaves. Il laissa à l’un de ses frères le soin du domaine et entra comme apprenti orfèvre dans un atelier où l’on frappait la monnaie royale selon les méthodes romaines anciennes.