• Chronique des saints : Mayeul

    Né en 906 à Valensoles en Provence, Saint Maïeul (ou Mayeul) diacre à Mâcon (Saône-et-Loire), puis moine et 4ème abbé de Cluny (Saône-et-Loire) en 965, son influence s’étend à l’Europe entière. Il meurt le 11 mai 994 et est enterré à Souvigny (Allier).

  • Chronique des saints : Marie de l’Incarnation

    Marie de l’Incarnation (1599-1672), femme de Dieu pour aujourd’hui, fondatrice des Ursulines à Québec, béatifiée le 22 juin 1980, est appelée à juste titre ‘mère de l’Église canadienne’ puisqu’elle a aidé à mettre au monde cette jeune Église, dans des circonstances particulièrement épineuses, par sa présence et son engagement dans la jeune colonie, de 1639 à 1672.

  • Chronique des saints : Benoît-Joseph Labre

    Saint Benoît-Joseph Labre né à Ameth au diocèse de Boulogne est attiré dès son enfance par le désir d’une vie austère. Malheureux dans ses essais de vie monastique, il entreprit des pèlerinages pénibles aux sanctuaires les plus réputés, vêtu seulement d’un habit grossier et en loques, se nourrissant de ce qu’il mendiait et donnant partout des exemples de piété et de pénitence. Il fit de Rome la dernière étape de son parcours et mourut, un mercredi saint, près de l’église Sainte-Marie des Monts, où il priait assidûment.

  • Chronique des saints : Jean-Baptiste de la Salle

    Saint Jean-Baptiste de la Salle, prêtre de Reims, qui eut à cœur l’éducation humaine et chrétienne des enfants, surtout chez les pauvres, fonda dans ce but l’Institut des Frères des Écoles chrétiennes, pour lequel il supporta bien des tribulations, et mourut à Rouen en 1719, ayant bien mérité du peuple de Dieu.

  • Chronique des saints : Jean Climaque

    Au mont Sinaï, en 649, saint Jean, abbé, qui mérita le surnom de Climaque en raison du précieux traité intitulé “L’échelle du paradis”, qu’il composa pour la formation des moines: il y décrit l’itinéraire spirituel à la manière d’une montée vers Dieu à travers trente degrés.

  • Chronique des saints : Catherine de Suède

    Catherine appartenait à la famille royale de Suède, par sa mère, sainte Brigitte et par son père Ulf Gudmarson. Élevée dans un couvent, elle en sort pour épouser sagement le jeune noble qu’on lui destine, Edgar Lydersson qui est un invalide et qu’elle soigna avec un grand dévouement. D’accord avec lui, en 1350, pour le jubilé, elle rejoint à Rome sa mère qui y a fait sa demeure depuis son veuvage. Catherine, pendant son séjour, apprend la mort de son jeune époux.

  • Chronique des saints : Louise de Marillac

    Mariée à un simple bourgeois, Louise de Marillac devient Mademoiselle Le Gras. Son fils Michel lui donnera beaucoup de soucis. A 34 ans, elle se retrouve veuve. C’est alors qu’elle rencontre saint Vincent de Paul. Subjuguée par la charité contagieuse du prêtre, elle devient rapidement sa collaboratrice dans toutes ses actions charitables. En 1633, ils fondent ensemble la « Compagnie des Filles de la Charité », appelée communément Sœurs de Saint Vincent de Paul.

  • Chronique des saints : Jean de Dieu

    A huit ans, pour des raisons que l’on ignore, le petit portugais Joao Ciudad fait une fugue et se retrouve, vagabond, sur les routes. Pendant 33 ans, il va mener une vie d’errance: enfant-volé puis abandonné par un prêtre-escroc, il parcourt l’Espagne. Tour à tour berger, soldat, valet, mendiant, journalier, infirmier, libraire… Le vagabond, un moment occupé à guerroyer contre les Turcs en Hongrie, se retrouve à Gibraltar. Et c’est là qu’un sermon de saint Jean d’Avila le convertit.

  • Chronique des saints : Anselme

    D’Aoste où il est né, devenu moine puis abbé du Bec en Normandie, il enseigna à ses frères à avancer sur le chemin de la perfection et à chercher Dieu par l’intelligence de la foi. Promu ensuite au siège illustre de Cantorbéry, en Angleterre, il lutta fermement pour la liberté de l’Église et souffrit pour cela des temps d’exil. Il mourut enfin dans son Église, le mercredi saint de l’année 1109.

  • Chronique des saints : Colette de Corbie

    Elle est née à Corbie, en Picardie. Ses parents se désolaient de ne pas avoir d’enfants. Ils prièrent saint Nicolas. Lorsqu’ils reçurent cette petite fille, ils lui donnèrent le nom du saint protecteur: Nicole, devenu aussi, en diminutif familier Colette.